Le permis B
Il permet de conduire les véhicules automobiles
Peuvent également être conduits les véhicules mentionnés précédemment, attelés d'une remorque lorsque le poids total autorisé en charge (PTAC) de la remorque est inférieur ou égal à 750 kilogrammes.
Les mêmes véhicules peuvent être attelés d'une remorque lorsque le poids total autorisé en charge (PTAC) de la remorque est supérieur à 750 kilogrammes, sous réserve que la somme des poids totaux autorisés en charge (PTAC) du véhicule tracteur et de la remorque de l'ensemble n'excède pas 4 250 kilogrammes.
Le permis B limité aux véhicules équipés d’une boîte de vitesses automatique
Depuis le 1er janvier 2017, les titulaires du permis B limité aux véhicules équipés d’une boîte de vitesses automatique peuvent conduire un véhicule en boîte manuelle de même catégorie à condition de suivre une formation de 7 heures. Cette mesure s’applique aux personnes qui conduisent des voitures « automatiques » pour des raisons non médicales.
Cette formation remplace la procédure de régularisation consistant à repasser l’examen de conduite devant un inspecteur, chargé de vérifier l’aptitude du conducteur à utiliser efficacement les commandes d’un véhicule à boîte manuelle.
> > Voir l’article 1er de l’arrêté du 14 octobre 2016 relatif à la formation des titulaires de la catégorie B du permis de conduire limité aux véhicules équipés d’une boîte de vitesses automatique pour des raisons non médicales en vue de conduire des véhicules à boîte manuelle relevant de cette même catégorie.
Attention, pour les conducteurs de véhicules équipés d’une boîte de vitesses automatique pour des raisons médicales, par exemple suite à un handicap, ainsi que les titulaires des autres catégories de permis de conduire, rien ne change. Il s restent soumis à la procédure de régularisation par l’expert pour la levée de la restriction.
Le permis B1 s'obtient par examen à partir de l’âge de 15 ans. Le programme de formation est identique à celui de la catégorie B, excepté en ce qui concerne la circulation sur les autoroutes et routes à accès réglementé.
Le permis B1 autorise à conduire les véhicules suivants :
Avant de s’inscrire au permis de conduire, il est conseillé de visiter plusieurs établissements afin de comparer les offres de formation. Votre choix ne doit pas se baser sur les seuls critères de proximité ou de prix. Certains prix très bas sont incompatibles avec une prestation de qualité.
Il est toujours instructif de se renseigner auprès de clients ou de connaissances et d’avoir leur avis sur l’établissement et la formation.
N’hésitez pas à poser des questions et à vérifier que les réponses sont précises et claires quant à l’organisation de la formation.
Demandez si l’apprentissage du code se déroule sous forme :
À savoir : vous pouvez également réclamer un plan de formation théorique.
Posez des questions sur l’organisation des cours de conduite :
Assurez-vous des conditions de présentation à l’examen du permis de conduire :
Avant la signature du contrat, l’école de conduite doit procéder à une évaluation préalable du candidat par un enseignant de la conduite dans le véhicule ou dans le local de l’établissement. Cette évaluation permet notamment de déterminer le volume prévisionnel de formation pratique, c'est-à-dire le nombre d’heures de leçons de conduite.
Avant de décider de changer d'école de conduite (déménagement, insatisfaction…), sachez que chaque école de conduite doit obligatoirement soumettre un contrat écrit au candidat. Une mention relative aux conditions de résiliation ou de rupture du contrat et les modalités financières qui s'y attachent doit être précisée sur ledit contrat passé entre le candidat et l'établissement d'enseignement de la conduite et de la sécurité routière (article R. 213-3 du code de la route). Il appartient au candidat de veiller aux mentions inscrites sur le contrat.
Le permis à un euro est un prêt dont les intérêts sont pris en charge par l'État.
Il a été mis en place par l'État, en partenariat avec les établissements prêteurs et les écoles de conduite, pour aider les jeunes de 15 à 25 ans révolus à financer leurs préparations au permis de conduire. Il permet aux jeunes de bénéficier d'une facilité de paiement : le coût total de la formation au permis ne change pas, mais l'établissement financier avance l'argent et l'État paie les intérêts.
En savoir plus sur le permis à 1 euro par jour
La bourse au permis est un outil de promotion par les communes d'accès des jeunes au permis de conduire et à la vie sociale.
La bourse au permis de conduire concerne les jeunes âgés de 18 à 25 ans et plus particulièrement ceux qui ne disposent pas de ressources personnelles ou familiales suffisantes pour financer leur préparation au permis de conduire.
Elle consiste en la prise en charge par la municipalité du lieu de résidence d’une partie du coût de la formation en contrepartie d’une activité d’intérêt collectif (40 à 50 heures) effectuée dans une structure identifiée (association caritative généralement).
Ce dispositif repose sur une aide apportée exclusivement par les collectivités locales. Cette formule présente un intérêt social majeur : elle permet aux jeunes de se rendre utiles à leur collectivité de vie, de se trouver en position valorisante auprès de personnes en difficulté et de se rendre acteurs de sécurité routière par la participation à des actions de sensibilisation (opérations "Sam", "capitaine de soirée", actions de prévention au collège, etc.).
C’est pourquoi le secrétaire d’État chargé des transports et le président de l’Association des maires de France (AMF) ont souhaité promouvoir et développer le dispositif de la bourse au permis de conduire, initié par les villes de Suresnes et de Carcassonne, en signant une charte de partenariat le 20 décembre 2007.
La bourse au permis de conduire repose sur un partenariat multiple entre la ville, le jeune, l’école de conduite et la structure d’accueil, partenariat concrétisé au moyen de conventions et de chartes.
La ville s’engage à verser la bourse au permis de conduire directement à l’école de conduite. Celle-ci est choisie, si possible, sur la liste des écoles de conduite conventionnées au titre du dispositif du permis à un euro par jour. L’opération ne peut être mise en œuvre qu’après avis favorable du conseil municipal.
Les modèles des différents documents nécessaires à la mise en place du dispositif de la bourse au permis de conduire (délibération du conseil municipal, dossier de candidature, charte, convention) sont disponibles et téléchargeables sur le site Internet de l’Association des maires de France. Ces documents sont adaptables par les communes en fonction de la réalité du terrain.
Différentes aides pour la formation au permis de conduire de conduire existent. Chaque futur conducteur est invité à aller se renseigner auprès des collectivités locales de son lieu de résidence sur les aides ou dispositifs de formation qui peuvent exister.
Aquitaine
Suppression de la taxe sur le permis de conduire.
Auvergne
Fonds d'aide à la mobilité des jeunes, suppression de la taxe régionale sur le permis de conduire, financement de stages poids lourds au titre de la formation continue.
Bourgogne
Financement d'une partie du permis de conduire à hauteur de 500 euros à destination des jeunes de moins de 26 ans en contrepartie d'heures de bénévolat.
Bretagne
Suppression de la taxe sur le permis de conduire.
Centre
Aide cumulable avec d’autres aides aux permis de conduire mise en œuvre par les conseillers des missions locales et des Permanences d’Accueil, d’Information et d’Orientation (PAIO) pour les jeunes.
Champagne-Ardenne
Participation au financement du permis de conduire (ex : dotations pour des aides départementales).
Franche-Comté
Suppression de la taxe régionale sur le permis de conduire.
Ile-de-France
Opération "permis, sport, emploi" depuis février 2009.
Languedoc-Roussillon
Aide au permis de conduire directement reversée aux apprentis en dernière année d'un diplôme de niveau V (CAP, CAPA...) inscrits dans un CFA ou une section d'apprentissage de la Région Languedoc-Roussillon et dans une école de conduite conventionnée "Permis à un euro par jour".
Lorraine
Opération pour aider financièrement (sous conditions de ressources) les moins de 20 ans à passer leur permis.
Midi-Pyrénées
Aide destinée aux demandeurs d'emploi, si possible avec une promesse d'embauche dans le domaine du transport routier (permis des catégories C, EC, D).
Nord-Pas-de-Calais
Aide au passage du permis de conduire dans la démarche de recherche d’un emploi.
Picardie
Aides pour les stagiaires de la formation professionnelle, les apprentis et les lycéens.
Poitou-Charentes
Financement du permis de conduire à destination des jeunes de 16 à 25 ans (sous conditions de revenus), pour les titulaires d’un CAP, CAPA ou Bac Pro obtenu en Poitou-Charentes.
03 – Allier
Aides pour les jeunes de 16 à 25 ans domiciliés dans l'Allier (sous conditions de ressources) pour une formation au permis de conduire B, traditionnelle ou en conduite accompagnée.
06 – Alpes-Maritimes
Aides pour les jeunes de 16 à 25 ans, sous conditions de ressources.
09 – Ariège
Bourses en échange de travaux d'intérêt collectif.
16 – Charente
Financement du Conseil général dans le cadre d'un fonds d'aide aux jeunes.
19 – Corrèze
Aides dans le cadre de l’apprentissage anticipé de la conduite.
21 – Côte d’Or
Aides pour les jeunes de16 à 25 ans sous conditions de ressources et en recherche active d'emploi et les bénéficiaires du RSA dans le cadre d'une politique d'insertion.
23 – Creuse
Aide à destination des personnes bénéficiares du RSA.
27 – Eure
Dispositif "Apprendre pour mieux conduire", sous condition de ressources des parents, pour permettre l’apprentissage de la conduite à différentes étapes de la vie (Brevet de sécurité routière pour les 14 / 16 ans, Apprentissage anticipé de la conduite pour les 16 / 17 ans ; stage de perfectionnement après le permis de conduire pour les 18 / 25 ans).
28 – Eure-et-Loir
Aides pour les jeunes de 16 à 25 ans sous conditions de ressources et en recherche active d'emploi et les bénéficiaires du RSA dans le cadre d'une politique d'insertion.
35 –Ille-et-Vilaine
Aides forfaitaires (jeunes de 18 à 25 ans, bénéficiaires de l'Aide parent isolé, bénéficiaires du RSA suivant une formation, etc.).
39 – Jura
Aides dans le cadre d’un fonds d'aide aux jeunes en difficulté dans le cadre d'un parcours d'insertion.
41 – Loir-et-Cher
Nombreux partenariats entre l’État et les collectivités locales pour financer ou co-financer la formation à la conduite.
44 – Loire-Atlantique
Aide au permis de conduire pour les jeunes de 16 à 24 ans ayant obtenu, au cours des deux dernières années, un diplôme allant du CAP au BTS (niveau III à V). Pour 2012, les critères d'attribution de cette aide sont élargis aux jeunes titulaires d'un Titre professionnel ou d'un Certificat de Qualification Professionnelle. L'objectif du dispositif étant l'accès au monde du travail, les candidats doivent être à la recherche d'un emploi ou commençant tout juste une activité professionnelle.
45 – Loiret
Aides individuelles aux jeunes en difficulté parmi lesquelles une aide au permis de conduire.
47 – Lot-et-Garonne
Dispositif de cofinancement du permis de conduire ainsi que d’un « Pass' Bonne Conduite » (aide a posteriori au permis de conduire).
48 – Lozère
Aide aux jeunes de 16 à 25 ans sous conditions de ressources et en recherche active d'emploi et les bénéficiaires du RSA dans le cadre d'une politique d'insertion.
52 – Haute-Marne
Existence d’un fonds d'aide aux jeunes dans le cadre de leur projet professionnel.
57 – Moselle
Ecole de conduite d'insertion de personnes au RSA, Crédits d'insertion liés au RSA.
60 – Oise
Aides pour les jeunes de18 à 25 ans.
63 – Puy-de-Dôme
Aides pour les jeunes en situation de grande précarité.
64 – Pyrénées-Atlantiques
Aides pour les jeunes de 16 à 25 ans sous conditions de ressources et en recherche active d'emploi et RSA dans cadre d'une politique d'insertion.
65 – Hautes-Pyrénées
Aides pour les bénéficiaires du RSA, avec contrat d'insertion, sur présentation d'une attestation de l'auto-école.
66 – Pyrénées-Orientales
Aides accordés pour le financement du permis de conduire pour jeunes en recherche active d'emploi.
68 – Haut-Rhin
Dispositif "accompagnement des jeunes à la conduite - conduite accompagnée 68" qui s'adresse à tous les jeunes haut-rhinois de 16 à 25 ans postulant à la conduite accompagnée et inscrits dans une auto-école du département :
Dispositif "AJC PRO 68", déclinaison du dispositif "conduite accompagnée 68" qui permet un tutorat professionnel dans le cadre de l'apprentissage sur un véhicule utilitaire léger.
69 – Rhône
Subvention à une école de conduite sociale et aides aux bénéficiaires du RSA.
71 – Saône-et-Loire
Financement du Conseil général dans le cadre d'un fond d'aide aux jeunes.
76 – Seine-Maritime
Aides pour les jeunes de 16 à 25 ans sous conditions de ressources et en recherche active d'emploi et les bénéficiaires du RSA dans le cadre d'une politique d'insertion.
77 – Seine-et-Marne
Aides aux titulaires du RSA, subvention de 2 écoles de conduite associatives, fonds d'aide aux jeunes.
78 – Yvelines
Aide pour les jeunes de 18 à 25 ans en contrepartie d’heures de travail civique.
83 – Var
L'aide au permis de conduire est accordée par le Conseil général du Var aux bénéficiaires du Revenu de Solidarité Active sous certaines conditions.
87 – Haute-Vienne
Aide dans le cadre d’écoles de conduite associatives.
91 – Essonne
« Chéquier-jeune » pour les jeunes de 16 à 19 ans titulaires de la carte jeune 91.
93 – Seine Saint Denis
Aides pour les jeunes de18 à 25 ans, sous condition de ressources, ayant un projet professionnel nécessitant l’obtention du permis de conduire.
95 - Val d'Oise
Aide financière du Cosneil Général pour les 16-25 ans.
A
Agnetz (Oise)
Ajaccio (Corse du Sud)
Airvault (Deux-Sèvres)
Angers (Maine-et-Loire)
Angoulême (Charente)
Arcueil (Val-de-Marne)
Ardentes (Indre)
Arnouville-lès-Gonesse (Val d'Oise)
Arsac (Gironde)
Aubière (Puy-de-dôme)
Avrille (Maine-et-loire)
Aubigny (Vendée)
B
Barbazan Denat (Hautes-Pyrénées)
Bavilliers (Territoire de Belfort)
Bernay (Eure)
Beugnies (Nord)
Blagnac (Haute-Garonne)
Bois-Colombes (Hauts-de-Seine)
Communauté d'agglomération du Boulonnais (regroupement de 22 communes du Pas-de-Calais)
Bois-le-Roi (Seine-et-Marne)
Bonneuil sur Marne (Val de Marne),
Bourges (Cher)
Breuil-Le-Vert (Oise)
C
Cambrai (Nord)
Capdenac-Gare (Aveyron)
Castelginest (Haute-Garonne)
Castelnau-le-Lez (Hérault)
Carcassonne (Aude)
Châteauroux (Indre)
Châtelet-en-Brie (Seine-et-Marne)
Charenton-le-pont (Val-de-Marne)
Communauté d'agglomération de Charleville-Mézières -Cœur d'Ardenne (Ardennes)
Chauvigny (Vienne)
Coignières (Yvelines)
Colmar (Haut-Rhin)
Colombes (Hauts-de-Seine)
Conches (Eure)
Cours la Ville (Rhône)
Cravanche (Territoire de Belfort)
Crécy-la-Chapelle (Seine-et-Marne)
Crest (Drôme)
Cugnaux (Haute-Garonne)
D
Dijon (Côte d'Or)
Dreux (Eure-et-Loir)
Communauté de communes du pays Dunois (Creuse)E
Epernay (Marne)
Epinal (Vosges)
Epinay-sur-Seine (Seine Saint-Denis)
F
Faches-Thumesnil (Nord)
Fenouillet (Haute-Garonne)
Fontenay-le-Compte (Vendée)
Franconville (Val d'Oise)
Frénouville (Calvados)
E
Evry (Essone)
G
Gondreville (Meurthe-et-Moselle)
Givet (Ardennes)
Gleizé (Rhône)
Gourgé (Deux-Sèvres)
Gournay (Indre)
Grandvillars (Territoire de Belfort)
Grignols (Gironde)
H
Hagtmau (Landes)
I
Issoire (Puy-de-Dôme)
J
Jargeau (Loiret)
K
Kervignac (Morbihan)
L
La Crêche (Deux-sèvres)
La Croix-Valmer (Var)
La Gaude (Alpes Maritimes)
La Seyne-sur-mer (Var)
Lavaur (Tarn)
Le Blanc (Indre)
Leffrinckoucke (Nord)
Le Plessis Robinson (Hauts-de-Seine)
Le Sap (Orne)
Le Tallud (Deux-Sèvres)
Le Teil (Ardèche)
Les Ulis (Essonne)
Lomme (Nord)
Lons (Pyrénées Atlantiques)
Luc-sur-Mer (Calvados)
M
Mâcon (Saône-et-Loire)
Maizières-les-Metz (Moselle)
Mazières-en gâtine (Deux-sèvres)
Mandelieu-La-Napoule (Alpes-Maritimes)
Masny (Nord)
Massy (Essonne)
Marquette-lez-Lille (Nord)
Mayenne (Mayenne)
Mehun-sur-Yèvre (Cher)
Ménigoute (Deux-Sèvres)
Metz (Moselle)
Meudon (Hauts-de-Seine)
Meulan (Yvelines)
Montbéliard (Doubs)
Montchanin (Saône-et-Loire)
Montfarville (Manche)
Montmorillon (Vienne)
Montrouge (Hauts-de-Seine)
Morteau (Doubs)
Mourenx (Pyrénées Atlantiques)
Mousson (Meurthe et Moselle)
N
Nay (Pyrénées Antlantiques)
Neuf-Mesnil (Nord)
Nogent Sur Marne (Val de Marne)
Communauté d'agglomération du Nord Basse-Terre (Guadeloupe)
O
Odos (Hautes-Pyrénées)
Oloron Sainte-Marie (Pyrénées-Atlantiques)
P
Pamiers (Ariège)
Parentis-en-Born (Landes)
Parthenay (Deux-Sèvres)
Poissy (Yvelines)
Pont-Scorff (Morbihan)
Port-Louis (Morbihan)
Puteaux (Hauts-de-Seine)
Q
Quetigny (Côte d'Or)
R
Reims (Marne)
Rombas (Moselle)
Romilly-sur-Seine (Aube)
S
Saint-Afrique (Aveyron)
Saint-Etienne (Loire)
Saint-Sever-Calvados (Calvados)
Saint Florentin (Yonne)
Saint Germain du Corbeis (Orne)
Saint-Jean-de-la-Ruelle (Loiret)
Saint Mandrier (Var)
Saint-Fargeau-Ponthierry (Seine-et-Marne)
Saint-James (Manche)
Saint-Jean de Braye (Loiret)
Saint-Lô (Manche)
Saint-Loup (Deux-Sèvres)
Saint-Pardoux (Deux-Sèvres)
Seurre (Côte-d'Or)
Sochaux (Doubs)
Suresnes (Hauts de Seine)
Communauté de communes du canton de Saint-Jean-d'Angély (Charente-Maritime)
Communauté de communes du pays Santon (Charente Maritime)
Communauté de communes des Sucs (Haute-Loire)
T
Tarbes (Hautes-Pyrénées)
Thaon-les-Vosges (Vosges)
Thénezay (Deux-Sèvres)
Thise (Doubs)
Torigni-sur-Vire (Manche)
Toulon (Var)
V
Valdoie (Territoire de Belfort)
Vannes (Morbihan)
Vaux-sur-mer (Charente-Maritime)
Vasles (Deux-Sèvres)
Vesoul (Haute-Saône)
Veyras (Ardèche)
Viennay (Deux-Sèvres)
Villenave d'Ornon (Gironde)
Villeurbanne (Rhône)
Violaines (Pas-de-Calais)
W
Wignehies (Nord)
Witry les Reims (Marne)
Y
Yerres (Essonne)
Avertissement : la présente liste n’est pas une liste exhaustive mais un recueil de différents exemples d’aides portés à la connaissance de la Délégation de la Sécurité et de la Circulation routières. En cas d’erreur ou de compléments d’informations, les demandes de modifications peuvent être envoyées à l'adresse suivante : webmestre-internet.DSCR@developpement-durable.gouv.fr
L'inscription et le passage de l'épreuve pratique du permis de conduire en France sont gratuits.
C'est l'enseignement à la conduite qui a un coût.
Les écoles de conduite évaluent les candidats et leur proposent un devis qui inclut la formation au code et à la conduite.
La préparation coûte 1 200 € en moyenne. Ce coût varie selon le nombre d'heures de formation nécessaires à la réussite à l'examen du permis de conduire.
En cas d'échec, il faut ajouter le coût de la formation supplémentaire ainsi que d'éventuels frais annexes.
L’école de conduite se charge de l’inscription, notamment des démarches auprès de la préfecture.
Si le permis est passé en candidat libre, le candidat s'adresse à la préfecture du domicile ou du lieu où il souhaite passer le permis (à Paris : à la préfecture de police). Il peut accomplir lui-même les démarches ou celles-ci peuvent être effectuées par une tierce personne. Il peut également formuler sa demande par correspondance.
Que ce soit en passant par une école de conduite ou en candidat libre, le candidat doit préparer un dossier comprenant :
* Attention à la nouvelle norme relative à l’apposition des photographies d’identité sur les documents d’identité (norme NFZ 12010).
** Attention, il est autorisé de débuter sa formation théorique et pratique à la conduite sans être titulaire de l’ASSR2 ou de l’ASR. Par contre, l’une ou l’autre de ces pièces sera indispensable pour obtenir son permis de conduire après avoir réussi l’examen pratique.
Selon la situation du candidat et la/les catégorie(s) sollicitée(s), des pièces supplémentaires peuvent être demandées :
Pour le candidat dont le permis de conduire est invalidé par perte de points, qui se réinscrit au permis, il faut également joindre :
Le nombre de visites médicales dans le cadre du permis de conduire est de l'ordre de 800 000 par an.
Les visites médicales sont obligatoires :
En premier lieu, prendre contact avec le secrétariat de la Commission départementale primaire (préfecture et/ou sous-préfecture)
Ensuite, le secrétariat vous fixera un rendez-vous pour vous présenter devant les deux médecins généralistes membres de la commission médicale. À l'issue de ce rendez-vous, l'avis d'un spécialiste peut être demandé.
Les médecins membres des commissions médicales, dont la gestion est assurée par les préfectures, sont rémunérés directement par l'usager examiné. La visite médicale coûte 24,40€.
Les visites médicales des cas cités au 1er et 2nd point ci-dessus sont assurées par la commission médicale primaire départementale. Les visites médicales pour renouvellement de catégories (3ème point) sont effectuées par des médecins de ville agrés par le préfet.
Voies de recours contre l'avis médical :
Pour contester l'avis médical, vous pouvez saisir la commision médicale d'appel de votre département (renseignement auprès de la Préfecture).
Quel que soit l’enseignement choisi, traditionnel ou bien avec une phase de conduite accompagnée, dans les deux cas, la formation au permis de conduire comprend une partie théorique et une partie pratique.
Avant la conclusion du contrat, l’enseignant doit procéder à une évaluation préalable, qui déterminera le volume prévisionnel de formation pratique. Il ne peut être inférieur à 20 heures de conduite. Cette évaluation préalable permettra donc aussi d'estimer le prix indicatif de la formation.
Vous devez signer un contrat de formation avec l'école de conduite. Celui-ci engage les deux parties. Il doit être chiffré et faire apparaître dans le détail le coût de chaque prestation (évaluation de départ, formation théorique, nombre de cours pratiques, présentations aux examens, transports aux centres d’examen, livret d’apprentissage, livre du Code de la route, auxquels peuvent s'ajouter des frais relatifs aux démarches administratives).
L’enseignant doit vous remettre un livret d’apprentissage qui précise les objectifs de la formation théorique et pratique.
Elle est axée sur l’apprentissage des règles de conduite et des bons comportements en matière de sécurité routière. Elle comprend des leçons théoriques et des tests.
Elle est axée sur les bons comportements du conducteur, afin de ne mettre en danger ni sa propre sécurité ni celle des autres.
Il existe trois formules d'apprentissage comportant une phase de conduite accompagnée :
Ces trois formules permettent après une formation initiale, d’acquérir une expérience au volant en toute confiance, sous le contrôle d’un accompagnateur, dans les conditions de circulation les plus variées possibles, avant le passage des épreuves pratiques et l’obtention du permis de conduire et de l’autonomie.
Un futur conducteur peut choisir d’apprendre à conduire dès l’âge de 15 ans avec la conduite accompagnée. En 2014, 197 717 permis de conduire de la catégorie B ont été délivrés via la filière de l’apprentissage anticipé de la conduite (AAC).
À ce jour, et après plus de 20 ans d’existence, cette filière d’apprentissage de la conduite est suivie par seulement 24 % d'apprentis conducteurs, alors que cette formation « au long cours » réduit de manière notable l’accidentalité chez les conducteurs novices et enregistre un meilleur taux de réussite à l’examen.
La conduite accompagnée lui permet, après une formation initiale en école de conduite, d’acquérir une expérience au volant en toute confiance, sous le contrôle d’un accompagnateur, dans les conditions de circulation les plus variées possibles, avant le passage des épreuves pratiques et l’obtention du permis de conduire et de l’autonomie.
Pour s’inscrire à l’AAC en école de conduite, il faut :
Avant de pouvoir conduire avec l’accompagnateur, il faut suivre une formation initiale qui comprend :
Une fois l’examen du code obtenu, et lorsque le niveau de conduite est jugé satisfaisant par l’enseignant après au moins 20 heures (ou davantage si l’enseignant le juge nécessaire) de formation initiale obligatoire, le jeune peut commencer à conduire avec un accompagnateur. L’enseignant lui délivre alors une attestation de fin de formation initiale (AFFI). Cette attestation prouve que l’élève a atteint le niveau nécessaire et indispensable pour commencer la conduite avec un accompagnateur notamment :
Cette attestation est donnée à l’élève et consignée dans son livret d’apprentissage. Elle est aussi remise à la compagnie d'assurance du candidat, car elle est indispensable pour commencer la conduite accompagnée.
Pour être accompagnateur, il faut :
Il est possible, pour l'élève, d'avoir plusieurs accompagnateurs, y compris hors du cadre familial.
C’est lors du deuxième rendez-vous pédagogique que le formateur décide si le candidat est prêt à passer l'épreuve pratique du permis de conduire lorsqu'il aura 17 ans et demi, s'il remplit les conditions de kilométrage parcouru et de durée de conduite accompagnée.
* 110 km/h sur les autoroutes où la section est limitée à 130 km/h ; 100 km/h sur les chaussées séparées par un terre-plein central et sur les portions d'autoroute limitées à 110 km/h ; 80 km/h sur les autres routes ; 50 km/h en agglomération.
Dans le cadre de l’apprentissage anticipé de la conduite (AAC), les devis proposés par les auto-écoles doivent préciser :
La formation pratique : forfait de 20 heures minimum et présentation à l’examen du permis de conduire.
Le candidat de 18 ans et plus, inscrit dans une école de conduite, aura la possibilité de compléter sa formation initiale par une phase de conduite accompagnée lui permettant d’acquérir davantage d’expérience, afin de passer ensuite l’épreuve pratique dans des conditions sereines. C’est la « conduite supervisée », plus souple que l’apprentissage anticipé de la conduite.
Comme pour la conduite accompagnée à partir de 15 ans, le candidat de 18 ans et plus doit au préalable avoir réussi l’épreuve du code et suivi au moins 20 heures de conduite en école de conduite. C’est l’enseignant qui autorise la personne à opter pour cette possibilité en fonction du degré de maîtrise du véhicule, des compétences et des comportements qu’il a observés chez le candidat.
Cette formule s’adresse aux candidats de 18 ans et plus, qui souhaitent acquérir une expérience de conduite avant le passage de l’examen du permis de conduire ou après un échec à l’épreuve pratique.
Comme pour la formule de l’AAC, la phase de conduite accompagnée se déroule avec un accompagnateur qui doit justifier de 5 ans de permis B sans interruption. Par contre, la conduite supervisée n’impose ni durée minimale ni nombre de kilomètre minimum à parcourir.
Un rendez-vous préalable doit être suivi avant de débuter la conduite avec l’accompagnateur.
Attention : contrairement à l’AAC, cette formule ne permet pas de réduire la durée de la période probatoire. Les nouveaux titulaires du permis de conduire disposent de 6 points sur leur permis et doivent attendre trois ans sans infraction avant d’en obtenir 12.
Après la phase de formation initiale, le candidat doit :
Après un échec à l'épreuve pratique de l'examen du permis de conduire, le candidat doit :
La conduite encadrée s’adresse aux jeunes préparant, dans les établissements de l’Éducation nationale, les diplômes professionnels menant aux métiers de la route (BAC professionnel, CAP de conducteur routier marchandises).
Cette nouvelle formule, accessible à partir de 16 ans, s’effectue pendant la formation scolaire qui dure en moyenne deux ans. Dans cette filièreprofessionnelle, un élève passe les épreuves de code et de conduite B avant sa majorité, dans le cadre de sa formation professionnelle. L’élève obtient son permis de conduire par équivalence de son diplôme. Toutefois, durant cette formation professionnelle il ne pouvait pratiquer la conduite accompagnée.
Depuis 2010, dès réussite aux épreuves du code et de conduite, il peut, après accord du chef d’établissement, conduire avec l’accompagnateur de son choix jusqu’à la délivrance de son permis.
Cette formule permet aux élèves, ayant réussi aux épreuves du permis de conduire, de maintenir et d’améliorer leur niveau de compétence et d’expérience, jusqu’à l’obtention du titre du permis de conduire, à 18 ans.
L'épreuve théorique (ou "code") est obligatoire pour pouvoir se présenter à l'épreuve pratique. Quelle que soit la catégorie de permis visée, cette épreuve est obligatoire.
Il s’agit d’une séance avec au maximum 40 candidats. Elle dure 1h30.
Cette épreuve débute par l’accueil des candidats, le contrôle de la recevabilité des documents d’examen et la vérification des identités. Chaque candidat est enregistré et se voit attribuer un boîtier d’examen.
Ensuite, l’examinateur présente l’épreuve (utilisation du boîtier, consignes pour répondre).
L’épreuve peut commencer : le diaporama avec 40 questions est soumis aux candidats, suivi par la correction des boîtiers, l’annonce des résultats et la transcription sur le dossier d’examen.
Les candidats sont reçus à l’examen à partir de 35 bonnes réponses sur 40 questions.
Les onze thèmes référencés :
La réussite à du "code" est valable pendant cinq ans et permet de se présenter au maximum cinq fois aux épreuves pratiques.
Un candidat déjà titulaire d’une catégorie du permis de conduire est dispensé de se présenter à cette épreuve pendant cinq ans à compter de la date de réussite à l'épreuve en circulation, toujours dans la limite de cinq présentations aux épreuves pratiques.
La connaissance des règles de sécurité est une condition nécessaire pour votre sécurité mais aussi celle des autres usagers de la route. Le Code de la route doit être connu non seulement pour l'examen mais également être retenu et appliqué tout au long de la vie du conducteur, c'est l'assurance d'une meilleur sécurité pour tous sur les routes
La routine de la conduite, le temps écoulé depuis la formation au permis, mais également des modifications du Code de la route peuvent contribuer à oublier ou méconnaitre certaines règles. Chacun est encouragé à se former tout au long de sa vie pour rester un conducteur exemplaire.
L'évaluation consiste à valider les compétences des candidats au travers des situations de conduite rencontrées.
Evaluation de la conduite efective
Pour chacune des compétences décrites à l'article 21 du présent arrêté, l'expert attribue la note 0, 1, 2, ou 3, en s'appuyant sur les définitions suivantes :
L'expert évalue l'autonomie et la conscience du risque du candidat au travers des compétences suivantes :
S'agissant de l'analyse et de l'adaptation aux situations, l'évaluation intègre :
Au cours de l'épreuve pratique, le candidat devra réaliser deux des septs manoeuvres suivantes, dont une au moins en marche arrière :
C'est sur ce document que l'examinateur note les erreurs commises par le condidat.
A l'issue de chaque examen, sauf pour les candidats des lycées professionnels et les candidats excusés à l'issue d'une régularisation, l'expert établit un certificat d'examen du permis de codnuitre sur lequel il dresse le bilan des compétences restituées par le candidat.
Ce document est adressé par voie postale.
L'épreuve théorique (ou "code") est obligatoire pour pouvoir se présenter à l'épreuve pratique. Quelle que soit la catégorie de permis visée, cette épreuve est obligatoire.
Il s’agit d’une séance avec au maximum 40 candidats. Elle dure 1h30.
Cette épreuve débute par l’accueil des candidats, le contrôle de la recevabilité des documents d’examen et la vérification des identités. Chaque candidat est enregistré et se voit attribuer un boîtier d’examen.
Ensuite, l’examinateur présente l’épreuve (utilisation du boîtier, consignes pour répondre).
L’épreuve peut commencer : le diaporama avec 40 questions est soumis aux candidats, suivi par la correction des boîtiers, l’annonce des résultats et la transcription sur le dossier d’examen.
Les candidats sont reçus à l’examen à partir de 35 bonnes réponses sur 40 questions.
Les onze thèmes référencés :
La réussite à du "code" est valable pendant cinq ans et permet de se présenter au maximum cinq fois aux épreuves pratiques.
Un candidat déjà titulaire d’une catégorie du permis de conduire est dispensé de se présenter à cette épreuve pendant cinq ans à compter de la date de réussite à l'épreuve en circulation, toujours dans la limite de cinq présentations aux épreuves pratiques.
La connaissance des règles de sécurité est une condition nécessaire pour votre sécurité mais aussi celle des autres usagers de la route. Le Code de la route doit être connu non seulement pour l'examen mais également être retenu et appliqué tout au long de la vie du conducteur, c'est l'assurance d'une meilleur sécurité pour tous sur les routes
La routine de la conduite, le temps écoulé depuis la formation au permis, mais également des modifications du Code de la route peuvent contribuer à oublier ou méconnaitre certaines règles. Chacun est encouragé à se former tout au long de sa vie pour rester un conducteur exemplaire.
Elle permet de contrôler si les connaissances, les aptitudes et le comportement des candidats lui permettent de circuler en toute sécurité.
Pendant cette épreuve, l’examinateur évalue la capacité à la conduite du candidat, et notamment :
À compter du 1er août 2014, l’épreuve dure 32 minutes. Elle comprend :
Selon les départements, le résultat vous est remis directement par l’examinateur ou vous est adressé par voie postale. En cas d’échec, une formation complémentaire est souhaitable.
Le permis de conduire est un certificat de capacités, obtenu après une formation et des examens, attestant qu’une personne est apte à occuper l’espace public de circulation, sans mettre en danger sa vie et celle des autres.
Mais ce permis n'est pas attribué à vie et peut rapidement être perdu si le conducteur commet des manquements aux règles de circulation. Il appartient à chacun de conserver son permis en respectant en toute circonstance le Code de la route et en adoptant une principe de prudence vis-à-vis des autres usagers.
Les règles et principes de conduite appris au cours de la formation sont donc essentiels. Ils ont non seulement pour but de préparer le candidat à l'examen du permis de conduire mais également à sa future vie de conducteur.
L'évaluation consiste à valider les compétences des candidats au travers des situations de conduite rencontrées.
Evaluation de la conduite effective
Pour chacune des compétences décrites à l'article 21 du présent arrêté, l'expert attribue la note 0, 1, 2, ou 3, en s'appuyant sur les définitions suivantes :
L'expert évalue l'autonomie et la conscience du risque du candidat au travers des compétences suivantes :
S'agissant de l'analyse et de l'adaptation aux situations, l'évaluation intègre :
Au cours de l'épreuve pratique, le candidat devra réaliser deux des septs manoeuvres suivantes, dont une au moins en marche arrière :
C'est sur ce document que l'examinateur note les erreurs commises par le candidat.
A l'issue de chaque examen, sauf pour les candidats des lycées professionnels et les candidats excusés à l'issue d'une régularisation, l'expert établit un certificat d'examen du permis de codnuitre sur lequel il dresse le bilan des compétences restituées par le candidat.
Ce document est adressé par voie postale.
Mise à jour le 15 janvier 2015
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